Mise à jour de la page : 09/2023
Les premiers écoliers du groupe scolaire Claudie Haigneré ont pu découvrir leur nouvelle école comme prévu le 4 septembre dernier ! Quelle joie de d.couvrir le sourire de nos enfants ; de ceux du groupe scolaire Claudie Haigneré et ceux des autres écoles qui ont été rénovées pendant l’été.
Ces investissements se font sans augmenter les taux d’imposition communaux. C’est un engagement que nous avons pris en 2014 et en 2020, lors des Municipales. Nous le tenons. Nous avons pris cet engagement car nous croyons qu’il est injuste d’imposer toujours plus, toujours les mêmes. Cette vision nous distingue de l’opposition qui, lorsqu’elle dirigeait la Commune, avait augmenté les taux de 8,8 % après les élections, sans l’avoir annoncé évidemment avant le scrutin.
Si cette année vos impôts augmentent, c’est parce que la taxe foncière dépend aussi de la valeur locative qui est réévaluée par l’état et qui a, elle, augmenté. Chacun pourra vérifier cela en page 3 de sa feuille d’imposition. Il y est rappel. que « de 2022 à 2023 » le taux d’imposition fixé par la Commune est resté le même : « de 36,39 % à 36,39 % ».
Sur un autre sujet, nous n’avons pas l’habitude de revenir sur tous les mensonges et les inexactitudes de l’opposition… La liste serait trop longue…
Mais quand même ! Vous avez pu lire dans leur tribune du mois dernier : « la précédente municipalité de gauche a construit trois écoles en deux mandats : Aimé Césaire, Lucien Clause et Rosa Parks ». Nous tenons donc à rappeler les faits. Si l’école Aimé Césaire a bien été réalisée par l’ancienne équipe et inaugurée par Bernard Decaux, l’école Rosa Parks, quant à elle, n’a pas été construite par l’opposition. Ils ont lancé le projet, nous l’avons adapté, réalisé, construit. L’école a été inaugurée par Monsieur le Maire, Nicolas Méary, en 2018. Enfin, en ce qui concerne l’école Lucien Clause, elle a été construite sous le mandat de Jean de Boishue et inaugurée en 1993. Peut-on vraiment se tromper de la sorte sur un sujet pareil ? Mensonge délibéré ? Incompétence ? Nouvel enfumage pour masquer le fait qu’ils avaient oublié une école dans la planification du quartier Clause – Bois-Badeau ? Chacun pourra se faire sa propre opinion.
Un mot enfin pour vous dire que nous sommes heureux que Monsieur le Maire propose au prochain Conseil Municipal du 5 octobre qu’un don puisse être fait à La Croix- Rouge pour venir en aide aux populations du Maroc et de la Libye, à la suite des terribles évènements du mois de septembre. Nous soutiendrons bien évidemment cette démarche. Nos pens.es vont vers ces pays endeuillés et toutes celles et ceux qui leur portent secours.
Votre majorité municipale
Chères Brétignolaises, chers Brétignolais,
Il y a un mois, nous avons accueilli à nouveau la fête de l’Humanité. Des milliers de gens sont passés par notre commune. C’est une vraie chance pour notre ville. Beaucoup sont venus écouter de la musique, faire la fête ou débattre politiquement, dans une ambiance fraternelle et chaleureuse. Nous tenons à remercier les militants de Brétigny pour leur accueil, la police, nos agents municipaux, les bénévoles brétignolais qui ont oeuvré à l’accueil et ceux à la « la guinguette de Brétoch » car c’était l’endroit où il fallait être. Cette deuxième édition fut un succès ! Nous entendons, bien sûr, les reproches qui ont été faits : musique trop forte à une heure indue, impossibilité de circuler et de se garer dans Brétigny, le bruit aux abords de la gare et l’accessibilité compliquée pour les personnes en situation de handicap. Nous avons déjà remonté ces désagréments aux organisateurs afin d’améliorer les prochaines éditions. Comptez sur nous pour que la voix de tous les Brétignolais soit entendue et respectée ! Mais contrairement au Maire de Brétigny, nous ne vous faisons pas de fausses promesses, la gestion du son est très dure lors d’un festival. En parlant de fausses promesses, alors que certains Brétignolais ont reçu douloureusement leur taxe foncière, notre Maire continue de dépenser notre argent, en installant sur le site de la fête de l’humanité, un véritable studio de télévision, hors de prix. De « la com » encore de « la com » avec l’argent des Brétignolais ! Notre argent doit être utilisé pour lutter contre les incivilités, la propreté et surtout contre l’insécurité grandissante dans notre commune. Enfin, depuis 2014, nous apparaissons de manière exponentielle dans les pages des faits divers ! Continuons avec les fausses promesses et la communication vide de sens : Saviez-vous qu’à Brétigny on tue les pigeons de manière barbare ?
Pourtant, Brétigny qui concourt pour obtenir le label « ville amie des animaux » fait appel à une société afin de capturer les pigeons, les gazer ensuite ou priver d’eau et de nourriture jusqu’à ce que mort s’ensuive. Ces méthodes, en plus d’être inefficaces, sont cruelles et nous devons y mettre un terme. La municipalité est en totale contradiction avec le fait d’avoir une délégation à la Cause animale. A quoi sert cette délégation si elle ne prend pas en compte l’intérêt des animaux ? De tous les animaux ! S’agit-il uniquement d’une posture politique ? Durant l’année 2022, ce sont 208 pigeons qui ont fait les frais de ces méthodes indignes et cruelles, selon un article du magazine Paroles de mai. Précisons que cet article a été écrit de manière à masquer aux Brétignolais la terrible vérité de ces mises à mort ! C’est inacceptable ! Comment prétendre défendre les animaux en ayant une gestion inhumaine des animaux liminaires ? Tout comme pour les chats errants de la ville, il existe des méthodes respectueuses et qui ont fait leurs preuves pour diminuer la population des pigeons. La mise en place d’un pigeonnier contraceptif et le nourrissage avec du grain de maïs stérilisant en sont des exemples. Nous espérons être entendu par M. le Maire et obtenir une autre reponse que celle qu’il a donnée lors du dernier conseil municipal : « non, ces 208 pigeons n’étaient pas en bonne santé ». Pour finir nos pensées et nos actions futures vont vers nos pays voisins le Maroc et la Libye impact.s par le dérèglement climatique. Ils payent aujourd’hui un lourd tribu.
Votre opposition municipale